Sur les traces de l'adolescence, je retrouve ses joies perdues, ses amourettes oubliées. J'observe en face ce ban solitaire de leurs premiers ébats. Que tu as grandi depuis. Les souvenirs envahissants, la gorge nouée, admirateur jadis le silence laisse pantois. Stoïque, je maintiens à distance l'euphorie. Lin aux yeux café et au sourire généreux., que dire de Christ la sœur, la conseillère loin de leurs vices. Tout s'est mué en cimetière de pensées. Ah le frère Dog, je souris de ce lieu occulte où tu titubais encore devant les assauts de ce douteux. Finalement tu y es arrivé. C'est de bonne guère. Randonnées infructueuses mais pas veines. J'esquisse quelques palindromes pour me souvenir de ce Tchapatcha au cœur ouvert malgré la démence naissante. De cette autre de Sainte Marie sa dulcinée., on aurait dit la belle et la bête tant la proximité était éloquente. Sad le cousin, la mec, que de bizarreries. J'arpente ces rues rétrécies le cœur serré les yeux fermés, tout affaissé, les arbres nostalgiques de leur enfance pas loin, je retiens le "Kiff ton Game !!!" Partagée depuis Google Keep
